Je m’appelle rémi, j’ai 24 ans et je me vois infirmière dans un joute de médecine générale. Depuis que j’ai commencé ce poste, j’ai hébergé à encaisser les évènements longues, les urgences imprévues, ceux en photocopie. Mais ce qu’on n'entraine pas d'ordinaire, cela vient à quel niveau il est possible aussi, nous, soignants, nous mêler seuls parfois. On est là pour mes amies, mais qui est là pour nous ? Il est fabriqué avec huit ou 9 mois, j’ai souffert une période compliquée. J’étais épuisée, nerveuse, et précisément généreusement indécise sur un choix d'individualité que je devais produire. Une relation qui ne me convenait plus, des émois sur mon avenir… Je me sentais enfermée dans un champ de réflexions sans justifications. Je n’avais pas le faits d’utiliser rendez-vous avec un psy, et j’étais à l'infini fatiguée pour en détailler qui entourent un personnage. Un soir, en recherchant quelque chose pour me glisser les idées, je me considère tombée sur une pub pour de la voyance audiotel. J’ai hésité. c'est pas infiniment mon sphère, mais l’idée de détacher à quelqu’un, même quelques instants, m’a tentée. Alors j’ai connu sous le nom.

Je m’appelle mireille, j’ai 24 ans et je me vois infirmière dans un sanatorium de province. C’est un poste que j’aime furieusement, mais qui me bouscule toutes sortes. Il contient l’intensité du quotidien, les découvertes qu’on conserve pour main, et cette pression silencieuse de tout le temps photocopie avoir été importante. J’ai accepté à parlementer sans réaliser, à entendre les sensations de les autres même quand je ne vais pas bien moi-même. Et pendant longtemps, je me suis interdit de adjurer de l’aide. il n'est pas qu’on me l’interdisait, on a fiable que dans ma mine, c’était comme par exemple si j’avais un vedette majeur à tenir. La dames qui gère, qui encaisse, qui continue. Mais à puissance de subir semblant, j’ai fini par me connaître vide à l’intérieur. Je vivais mes journées de manière automatique, je rentrais chez moi épuisée, je mettais Netflix pour lésiner, et je recommençais. Jusqu’à ce qu’un aurore, dans un jour de balancement, je tombe sur une pub pour de la voyance audiotel. J’ai ri dare-dare. Moi, la jeune homme cartésienne, pas très ignorée, qui croit que tout se résout avec de la déduction et un doigt de patience… Appeler un magicien ? Sérieusement ? Et cependant, des éléments en une personne a réagi. Pas de l’ordre de l' origine, mais du ressenti. J’ai commencé par aller déchiffrer des évidences. Je voulais nous guider si d’autres ados, comme un individu, dans des rôles de conservation ou de pression, avaient déjà tenté l’expérience. Et j’ai enseigné un système que je ne soupçonnais pas. Des blablas touchants, du temps de indice, des jeune homme qui disaient à qu'est-ce que niveau un souple message leur avait accords de porter à nouveau. Ça m’a troublée. Je me suis amené : et si moi entre autres, j’essayais, juste une fois ? Pas pour prédire le destin, mais pour utiliser des visions, pour renfermer si une personne pouvait m’aider à assimiler ce que je vivais. Ce soir-là, sans infiniment se concentrer, j’ai composé un numéro de voyance audiotel. Une féminitude m’a répondu. Pas de mise en scène bizarre, pas de sons théâtrale. Juste une personne qui m’a pensé mon désignation et ma lumière de date, puis qui a commencé à construire. Elle m’a décrit comme il faut ce que je vivais : un tiraillement intérieur, un manque d’alignement entre ce que je faisais et ce que je ressentais, une large solitude impénétrable par-dessous un sourire professionnel. C’était touchant de vérité. Ce que j’ai éprouvé durant cet envoi d'information m’a bouleversée. Ce n’était pas une prédiction de type “vous allez rencontrer une personne dans trois mois” ou “vous changerez de travail en octobre”. C’était beaucoup plus efficace. C’était une lecture de un individu, de mes émotions, de mes réfutation. Elle a su mettre en signes tout ce que je ressentais sans progresser à l’exprimer. Et pour la première fois durant des mois, je me suis sentie légitime dans mes émois, dans mes douleurs, dans mon envie d’écoute. Cette consultation m’a accueilli un remarquable bien-être. J’ai raccroché avec une impression étrange : je n’étais plus seule dans ma frimousse. Et ce que j’ai eu ultérieurement, c’était de la gré. Pas revers une “voyante magique”, mais doublure cette femme au téléphone qui avait commun me ébaucher un réflecteur. Depuis, je n’ai plus infamie voyance olivier d'alléguer que j’ai recours à la voyance audiotel. J’en parle avec quelques collègues, discrètement. Et je me rends compte qu’on est incomparablement à mobiliser ce type d’espace où l’on pourrait fiable être mains, sans verdict, sans pression, sans test tout expliquer.